Ceci est une traduction automatique. Pour voir le texte original en anglais
cliquez ici
#Actualités du secteur
{{{sourceTextContent.title}}}
Interview au Dr. Grant Myhre : "Pourquoi avez-vous décidé de passer une IRM ?"
{{{sourceTextContent.subTitle}}}
Pourquoi la technologie de l'IRM est-elle si importante pour détecter des pathologies spécifiques ?
{{{sourceTextContent.description}}}
Pourquoi la technologie de l'IRM est-elle si importante pour détecter des pathologies spécifiques ?
"Il n'est pas toujours facile de voir l'intérieur du pied d'un cheval. Au début, nous utilisions des radiographies, mais les images ne montraient pas suffisamment de détails sur les tissus mous. Nous sommes passés à la thermographie, qui permet d'observer la chaleur dans le sabot, mais qui n'est pas particulièrement utile par ailleurs. L'utilisation d'ultrasons à travers le sabot a constitué une amélioration, mais n'est pas comparable à la clarté fournie par l'IRM.
L'étalon-or pour la détection des boiteries
Quatre-vingt-dix pour cent des boiteries de la patte avant sont dues à une pathologie du pied. L'un des diagnostics les plus difficiles à établir chez le cheval est la lésion du tendon fléchisseur digital profond. Il n'est pas possible de bien visualiser cette lésion sans IRM. L'IRM permet de poser un diagnostic, de déterminer le pronostic et d'orienter le traitement de la lésion.
Une neurectomie peut être une excellente option thérapeutique. L'IRM permet de déterminer le degré de dégénérescence d'une lésion. L'étendue de la lésion détermine le degré d'exercice que le cheval peut reprendre après le traitement et donne un pronostic à long terme de la lésion.
Pourquoi avez-vous choisi le G-scan equine pour votre clinique ?
Avant d'installer le G-scan equine, j'ai utilisé pendant de nombreuses années le système ELLEGRO d'Esaote pour scanner les membres des chevaux. Il répondait parfaitement à nos besoins à l'époque, et grâce à notre expérience de travail avec la société et à la polyvalence et la flexibilité de ses systèmes, il a été facile de passer au G-scan equine pour améliorer la qualité de l'image. Lorsque nous scannons des membres sous anesthésie générale, nous pouvons obtenir des images cliniques nettes. Si le cheval n'est pas candidat à l'anesthésie ou si le propriétaire s'y oppose, nous pouvons faire pivoter l'aimant de 90 degrés, ce qui permet un examen en position debout.
Nous disposons également de bobines spécialisées pour aider à visualiser ce qui ne va pas, depuis les zones d'intérêt du sabot jusqu'à la tête. L'une de mes caractéristiques préférées de ce système est la possibilité d'obtenir une image du grasset, ce que la plupart des autres scanners ne peuvent pas faire !
Comment effectuez-vous les examens du grasset ?
Le G-Scan equine rotatif est tourné à 90 degrés en position verticale. Nous plaçons le cheval en décubitus dorsal (sur le dos) sur la table d'IRM. La jambe affectée est alors ancrée dans l'isocentre de l'aimant, l'autre jambe chevauchant l'IRM.
Comment s'est déroulée l'installation de G-scan equine dans votre clinique ?
Comme nous avions déjà installé le système ELLEGRO, je connaissais la facilité du processus d'installation. La taille du G-scan equine convient parfaitement à nos besoins en espace et à notre stratégie commerciale. L'IRM à haut champ nécessite des dépenses importantes en termes de construction, d'hélium, d'énergie et d'entretien. L'IRM dédiée d'Esaote est sûre, moins encombrante et nous permet de réduire les coûts pour nos clients.
Pour les chevaux, j'ai tout ce dont j'ai besoin.