Voir la traduction automatique
Ceci est une traduction automatique. Pour voir le texte original en anglais cliquez ici
#Actualités du secteur
{{{sourceTextContent.title}}}
Simulateurs pulmonaires autonomes pour la formation à la ventilation mécanique en néonatologie
{{{sourceTextContent.subTitle}}}
Gérer les défis de la formation à la ventilation mécanique
{{{sourceTextContent.description}}}
Introduction
La ventilation mécanique (non invasive et invasive) est l'une des pierres angulaires du traitement des nourrissons nés prématurément et à terme. Bien que l'assistance respiratoire contribue à la survie et au bien-être à long terme de ces nourrissons, elle est également associée à des complications à court terme (syndrome de fuite d'air, hémorragie pulmonaire,...) et à long terme (maladie pulmonaire chronique ou dysplasie broncho-pulmonaire).
La formation à la ventilation mécanique des infirmières et des médecins néonatologistes est donc essentielle pour réduire les effets néfastes potentiels de cette thérapie.
Les défis de la formation à la ventilation mécanique
Le poumon vulnérable du prématuré ne permet pas d'erreurs dans les réglages du ventilateur car il peut ne prendre que quelques respirations avec un volume courant ou une pression inspiratoire trop élevés pour causer des dommages irréparables. Pour surmonter le problème de l'"apprentissage par la pratique", différents programmes de simulation et simulateurs de poumons ont été mis au point. Ces simulateurs permettent d'essayer différentes stratégies de ventilation sur des scénarios néonatals typiques et même de s'entraîner à des situations extrêmes.
Un inconvénient des programmes de simulation et des simulateurs pulmonaires conventionnels est le fait que la réponse du poumon à la ventilation mécanique nécessite l'intervention du formateur. Bien que très utile pour les simulations d'équipe, cette technique ne permet pas une formation ad hoc individualisée du personnel junior, car elle nécessite toujours la présence de personnel senior expérimenté.
Simulateurs pulmonaires autonomes
La formation du personnel subalterne peut être assurée par un simulateur facile à utiliser, où la réponse à un traitement spécifique est déterminée par des modèles physiologiques intégrés ne nécessitant aucune saisie manuelle une fois la simulation en cours. LuSi (neosim, Suisse) est un tel simulateur de poumons, qui non seulement ressemble à un bébé prématuré malade, mais se comporte comme tel lorsqu'il est correctement programmé
Domaines d'application potentiels
Comme mentionné ci-dessus, la principale différence (et à mon avis le grand avantage) par rapport aux programmes de simulation classiques est le fait qu'aucun "pilote" n'est nécessaire tout au long de la simulation. Cela rend les simulateurs autonomes très polyvalents dans leur application.
Ils peuvent être utilisés comme les programmes de simulation conventionnels pour les formations de simulation d'équipe. En outre, ils peuvent être utilisés pour des sessions d'enseignement pratique allant des bases physiologiques aux stratégies de ventilation très sophistiquées. Le retour d'information physiologique permet d'évaluer en temps réel les réglages des ventilateurs et les interactions patient-ventilateur.
Grâce à une interface conviviale, les simulateurs autonomes peuvent également être utilisés pour l'autoformation à des moments où la charge de travail est moindre. Un espace de formation permanent dans le service de néonatologie, équipé d'un simulateur, d'un ventilateur et - pour une formation plus poussée - d'un moniteur de patient, permet au personnel d'avoir des séances de formation individuelles chaque fois que quelqu'un trouve le temps d'allumer le simulateur et le ventilateur.
Programmation de scénarios
Dans chaque simulation, la formation est aussi bonne que les scénarios programmés. Cela est également vrai pour les simulateurs autonomes. Plus les modèles physiologiques utilisés avec les simulateurs sont bons, plus la programmation des scénarios est compliquée et lourde. La programmation d'une situation réaliste du patient avec une évolution raisonnable nécessite de bonnes connaissances physiologiques et, comme toute autre programmation, beaucoup de temps. Ce défi peut être surmonté, du moins en partie, en fournissant des plateformes permettant de partager des scénarios.
Expérience personnelle avec LuSi (neosim, Suisse)
Quand j'ai connu LuSi, j'ai eu une introduction approfondie à sa programmation mais aussi à sa mécanique. Pour moi, il est très important de connaître son fonctionnement, de comprendre ses limites potentielles et de savoir à quoi s'attendre dans différents scénarios
Les modèles physiologiques utilisés pour imiter le comportement naturel du simulateur sont assez complexes. De nombreux paramètres différents peuvent être modifiés lors de la programmation d'un nouveau scénario. Il est donc très utile que ces paramètres soient regroupés dans des dossiers principaux. La plupart des valeurs ont une brève description dans un menu "mouse-over". Ainsi, une fois familiarisé avec la programmation des scénarios, vous serez rapidement en mesure d'implémenter des paramètres même rarement utilisés dans votre programmation sans avoir recours au manuel. Les scénarios simples peuvent être programmés hors ligne, mais pour les situations plus complexes, je recommande vivement de programmer tout en faisant fonctionner le simulateur avec un ventilateur. Certaines des fonctions n'entraîneront pas la réponse attendue du simulateur, mais vous finirez par trouver un moyen de la contourner.
J'ai personnellement utilisé LuSi pour des formations de différents niveaux, allant de l'initiation des infirmières débutantes de l'unité de soins intensifs néonatals aux principes de la ventilation mécanique à la simulation de conditions extrêmes pour les patients avec des néonatologistes expérimentés. La physiologie respiratoire peut être illustrée très facilement par deux ou trois scénarios différents. Si des questions se posent, vous pourrez toujours apporter les changements demandés sur place et, en plus des données théoriques, vous pourrez les montrer directement sur le ventilateur/écran de contrôle du patient. Ayant déjà travaillé avec des programmes de simulation "classiques", la différence la plus frappante de cette nouvelle génération de simulateurs est le fait que vous disposez toujours de suffisamment de temps pour vos étudiants, car vous n'avez pas à trouver une réponse adéquate du patient. Il est toujours là.
Conclusions
Les simulateurs pulmonaires autonomes offrent des possibilités totalement nouvelles pour l'entraînement à la ventilation mécanique en néonatologie. Des exigences minimales en matière de programmation, de compatibilité avec un ventilateur donné et de communication sans fil faciliteront l'application et, par conséquent, la mise en œuvre de la simulation des maladies respiratoires néonatales dans le travail quotidien des unités de soins intensifs néonatals.