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#Actualités du secteur
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Les aliments ultra-traités liés à un risque accru de diabète de type 2
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1. Dans cette étude de cohorte prospective française, la consommation d'aliments ultra-traités (UPF) a été liée à un risque accru de diabète de type 2 (T2D).
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2. L'association entre l'UPF et le T2D est restée significative après avoir pris en compte d'autres comorbidités métaboliques et des changements de poids.
Niveau de notation des preuves : 2 (bon)
Étude de synthèse : Le contenu de l'alimentation a une influence profonde sur le développement de nombreuses conditions médicales, y compris les troubles métaboliques, les maladies cardiovasculaires et les tumeurs malignes. L'augmentation de la consommation alimentaire d'aliments ultra-traités (UPF) a été précédemment liée à un risque accru de mortalité toutes causes confondues, de cancer, de dyslipidémie, d'obésité et d'hypertension. L'étude actuelle a cherché à évaluer le risque de DT2 associé à la consommation de FPU dans une vaste cohorte prospective moderne. L'étude a montré qu'une augmentation de la consommation de UPF, à la fois en termes de consommation totale par jour et de pourcentage du régime alimentaire total, était liée à un risque accru de DT2. L'association était significative même après ajustement des comorbidités métaboliques et des changements de poids.
L'étude actuelle met en évidence un autre dommage potentiel associé à un régime alimentaire riche en UPF. Les composants et les étapes de traitement exacts de l'UFP qui peuvent expliquer cette association ne sont pas connus. La force de l'étude réside dans la grande cohorte prospective moderne, avec des données sur les apports alimentaires répétés disponibles pour chaque participant à l'étude. Les principales limites de l'étude comprennent le risque de sous-diagnostic du DT2 dans la population générale, la grande variété de la FPU et l'incapacité à évaluer les relations de cause à effet entre des produits et des composants spécifiques de la FPU.
In-Depth [cohorte prospective] : Cette étude est une étude de cohorte prospective utilisant les données de la cohorte de l'étude NutriNet-Santé, une population française en ligne lancée en 2009. Les participants étaient inclus s'ils étaient âgés de 18 ans ou plus, et ont rempli 3 dossiers diététiques non consécutifs sur Internet, 24 heures sur 24, au départ et tous les six mois. Des questionnaires sur la santé ont été remplis tous les trois mois et le T2D a été soit autodéclaré, soit déduit de la consommation de médicaments. Les participants étaient exclus s'ils n'avaient pas rempli les enquêtes de suivi. Le diplôme de transformation des aliments a été classé selon la classification NOVA.
Un total de 104 707 participants dont l'âge médian (ET) de référence était de 42,7 (14,5) ans ont été inclus dans cette étude. Le risque de DT2 était de 166 pour 100.000 années-patients chez les plus grands consommateurs d'aliments de la FPU, contre 113 pour 100.000 années-patients chez les plus petits consommateurs. Le risque de DT2 a augmenté avec l'augmentation de la consommation d'UPF (rapport de risque [HR] par augmentation de 10 points de pourcentage de l'apport alimentaire de 1,15 (95%CI, 1,06-1,25). Ce risque associé est resté significatif après ajustement pour les comorbidités métaboliques (HR, 1,13 ; 95%CI, 1,03-1,23), et le changement de poids (HR, 1,13 ; 95%CI, 1,01-1,27).