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#Actualités du secteur
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La difélikefaline associée à une réduction de l'intensité des démangeaisons et à une amélioration de la qualité de vie liée aux démangeaisons
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1. Dans cet essai de phase 3 en double aveugle impliquant des patients sous hémodialyse qui présentaient un prurit modéré à sévère, une diminution cliniquement significative de l'intensité des démangeaisons a été constatée chez un pourcentage plus élevé de patients du groupe difélikéfine que du groupe placebo.
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2. En moyenne, les améliorations de la qualité de vie liées aux démangeaisons étaient également plus importantes dans le groupe de la difélikafaline.
Niveau de notation des preuves : 1 (Excellent)
Étude de synthèse : Le prurit touche la majorité des patients en hémodialyse et est associé à une qualité de vie réduite et à un risque accru de décès. Bien que la pathogénie du prurit urémique ne soit pas encore totalement comprise, un certain nombre d'hypothèses ont été avancées, notamment un déséquilibre du système opioïde endogène. La difélikéfine est un agoniste sélectif des récepteurs opioïdes kappa, limité à la périphérie, qui a produit des bénéfices cliniquement significatifs dans des essais de phase 2 impliquant des patients sous hémodialyse qui avaient un prurit modéré à sévère. Cet essai de phase 3 a révélé que la difélikéfaline entraînait une réduction spectaculaire de l'intensité des démangeaisons ainsi qu'une amélioration significative de la qualité de vie liée aux démangeaisons, ce qui corrobore les résultats des essais de phase précédente. Les effets indésirables, bien qu'élevés dans les deux groupes, se sont produits un peu plus fréquemment dans le groupe de traitement, les diarrhées, les vertiges et les vomissements étant les plus fréquents. La dysphorie et les hallucinations étaient notamment absentes, ce qui indique un éventuel avantage de sécurité des agonistes des récepteurs opioïdes kappa à action périphérique par rapport aux agonistes des récepteurs opioïdes mu et à action centrale. Bien que la robustesse de ces données ait été confirmée par des analyses de sensibilité, ces résultats ont une généralisabilité limitée en raison de critères d'éligibilité spécifiques et d'un suivi relativement court.
In-Depth [essai contrôlé randomisé] : Dans cet essai multicentrique de phase 3, en double aveugle, 378 patients sous hémodialyse souffrant de prurit modéré à sévère ont été stratifiés en fonction de leurs antécédents médicaux et de l'utilisation concomitante d'antiprurigineux, et répartis au hasard selon un rapport 1:1 pour recevoir soit de la difékéfaline à une dose de 0,5 mcg/kg, soit un placebo, trois fois par semaine pendant 12 semaines. Au départ, les patients ont obtenu des résultats similaires sur l'échelle d'évaluation numérique de l'intensité des démangeaisons sur 24 heures (WI-NRS), avec une moyenne de 7,1±1,4 dans le groupe difélikéfine et de 7,3±1,6 dans le groupe placebo. À la semaine 12, une proportion significativement plus importante de patients du groupe de traitement a montré une amélioration (diminution) d'au moins 3 points par rapport à la ligne de base dans le score hebdomadaire moyen du WI-NRS de 24 heures par rapport au placebo (49,1 % contre 27,9 % ; risque relatif, 1,65 ; intervalle de confiance à 95 %, 1,26 à 2,14 ; P<0,001). Le groupe de traitement a également connu de plus grandes améliorations de la qualité de vie selon des paramètres multidimensionnels tels que le changement moyen par les moindres carrés par rapport au départ dans le score total de l'échelle de démangeaison 5-D (-5,0±0,3 vs -3,7±0,3) et le changement moyen par les moindres carrés par rapport au départ dans le score total du Skindex-10 (-17,2±1,3 vs -12,0±1,2) (toutes les valeurs P <0,001). Sur les cinq dimensions de la démangeaison, quatre (distribution, durée, degré et direction) ont montré une différence entre les groupes en faveur de la difélikéfaline. Les effets indésirables entraînant l'arrêt du traitement étaient plus fréquents dans le groupe de la difélexéfaline (7,9 % contre 4,8 %).