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Comment se passe l'attaque d'encéphalopathie hépatique après l'opération TIPS ?
Modèle de veine jugulaire
L'encéphalopathie hépatique (coma hépatique), principale complication du TIPS, est une période de forte incidence un mois après la chirurgie. Les épisodes légers peuvent se manifester par des changements de personnalité, des anomalies du comportement, l'apnée du sommeil, la léthargie, l'oubli, etc., et les épisodes graves peuvent se manifester par une léthargie ou même un coma.
L'encéphalopathie hépatique est associée à un certain nombre de facteurs, notamment l'alimentation, la constipation, les infections et plus encore :
① Contrôle de l'alimentation : le régime alimentaire riche en protéines est l'une des principales causes d'encéphalopathie hépatique post-TIPS. Une attention particulière doit donc être accordée à l'alimentation, c'est également le point le plus important.
À grain fin, contenant moins de fibres, moins de glucides gazeux, comme le riz (pourri), les nouilles, la poudre de racine de lotus, la citrouille, les légumes et les fruits (en purée ou en jus), faible en sel et faible en huile (l'huile végétale est préférable) régime léger. La consommation de protéines doit être principalement constituée de protéines végétales (comme le tofu, car les protéines végétales contiennent plus d'acides aminés à chaîne ramifiée et sont principalement métabolisées dans les muscles, peuvent non seulement compléter les protéines, mais également prévenir l'apparition d'une encéphalopathie hépatique). Les protéines animales (plats à base de viande) doivent être strictement contrôlées, car les plats à base de viande (en particulier le porc, le bœuf et le mouton !) C'est un facteur important pour induire une encéphalopathie hépatique. Pour les plats de viande, le poisson (attention aux arêtes de poisson), le lait, le canard, le poulet sans peau c'est mieux.
Une image spécifique, c'est-à-dire 3 à 7 jours après l'opération, ne peut manger que l'équivalent d'une protéine d'œuf chaque jour, s'il n'y a pas d'anomalie évidente, vous pouvez augmenter progressivement l'apport en protéines, il est préférable d'augmenter progressivement, c'est-à-dire augmentez d'abord à 2 œufs par jour, 3 jours après aucune anomalie, puis augmentez, puis observez 3 à 7 jours, puis augmentez l'apport en protéines, et ainsi de suite. De cette façon, le corps peut s'adapter progressivement à l'état relativement élevé d'ammoniaque dans le sang après la chirurgie.
Après un mois, s'il n'y a pas d'encéphalopathie hépatique, la quantité de protéines consommées peut augmenter progressivement, une petite quantité d'augmentation, la quantité à manger pour ne pas se sentir étourdi, léthargique, confus pour le degré, ce processus doit s'appuyer sur les patients et leurs familles à explorer ensemble!
② Constipation : Faites attention à ne pas bloquer les selles (1 à 2 fois par jour), car la constipation peut également induire une encéphalopathie hépatique. Postopératoire doit être approprié pour boire de l'eau, manger plus de légumes et de fruits frais, favoriser la défécation. Il est recommandé aux patients de prendre du lactilose pendant une longue période après la chirurgie. Si le corps peut le tolérer (principalement la diarrhée), il est recommandé de prendre 1 pack (15 ml) par jour ; si la diarrhée qui en résulte ne peut être tolérée, elle peut être réduite à 1 paquet tous les 2 jours ; si ce n'est pas possible, il peut être réduit à 1-2 packs par semaine. En bref, il vaut mieux éviter la constipation postopératoire.
③ Faites attention à éviter le rhume et la fièvre, à prévenir les infections, à faire de l'exercice approprié, à améliorer votre forme physique.
En cas d'encéphalopathie hépatique légère (se manifestant souvent par un changement de personnalité, un déclin de la mémoire, une léthargie, etc.), l'administration orale de granules d'aspartate d'ornithine (granules de Regan) pour réduire l'ammoniaque sanguine et un traitement lfructose-laxatif peuvent être effectués conformément aux instructions. Dans les cas graves, lavement au vinaigre, thérapie par transfusion intraveineuse (telle que l'aspartate d'ornithine, l'arginine, les acides aminés à chaîne ramifiée, etc.), sédation, le cas échéant.